"de combien de personnes sont digne d'appartenir à l'espèce humaine, de Combien de personnes sont bonnes et juste ?

où est la limite,entre le bien et le mal ?
existe-il vraiment plusieurs camps où mieux vaut rester neutre ?
un certain nombre de question,peu où absence de réponse,personne ne sait si les dieux existent réellement où s'ils n'existent que dans notre imagination collectif ?
Entre être où croire,il faut mieux se fier au plus important,c'est de survivre,c'est de rester vivant.
Où est la limite entre la croyance et la fausse croyance ?
les démons existent-ils vraiment ? où es-ce le mal qui existe vraiment ?
Rejoindre la lumière où son contraire,que choisir,quand on accepte la neutralité,je ne suis personne pour juger,les autres,je ne juge que les compétences des gens,mais jamais sur leurs apparences."

Un scientifique,occupé à participer à des fouilles,au côté d'une équipe,recense les fossiles,quand celui-ci fut alerté par un cris d'agonie,le cris d'une personne que l'on assassine,le cris de la mort et de l'horreur en ce hurlement atteint le scientifique.
le cris cessera finalement,le scientifique apprendra lors d'une pause déjeuné,qu'un des collègues à avait était retrouvé tué,la gorge tranché.
très vite,des hypothèses autour de cette mort,multiplient,le scientifique pensait à son avis,que le tueur était un être humain.
s'intéressant à l'affaire,le scientifique apprends qu'en effet,c'était bien un scientifique ayant étais retrouvé mort,mais contrairement à la rumeur,la victime à était étranglé,à l'aide d'une ceinture.
le scientifique prêtera attention à l'identification du cadavre de la victime,une morsure fut repéré,un morceau de chair était manquant à l'épaule du corps.
- Qui est le médecin-légiste ici ?
- c'est moi,je prépare l'autopsie du corps,vous aviez une tête très bizarre.
- mon expression,vous voulez dire,regardez à l'épaule droite du corps.
le médecin-légiste décide de vérifié,et examina l'épaule droite du cadavre,là il vit la morsure,en affirmant
- vous pensez qu'il y a un lien avec une morsure,cela fait plus pensé à la morsure d'un chien.
- je ne suis pas aussi sûr,que vous,c'est une morsure en arc-en de cercle,je vois distingue,à ceci prêt,que le mordeur à pût pénétrait les chairs.
- un humain,à une morsure en arc-de cercle,jusqu'à présent,aucun humain,n'a des dents fait pour pénétrer,déchiré les chairs.
- je vous invite à analysé la morsure,de la salive à dû être laissé.
- je tiens à le faire.
Le médecin-légiste prélèvera du sang,puis sur le pourtour de la morsure,l'homme envoie les échantillons,quand un cris d'horreur se fit entendre,le légiste vit le scientifique devenu tout blanc et livide.
- on a un problème,avec le ...mort.
- vous semblez en avoir peur.
- je l'ai vu bouger.
- j'ai déjà eu des cas,où m'avait envoyé des personnes que on croyait morte,elles étaient seulement inconscientes,rien à avoir avec la mort.
- je vous parle d'un cadavre,pour ma part.
- je vous le confirme,c'est en bien un.
- venez voir,il faut que vous voyez ça..
- si vous insistez.
le médecin-légiste retrouve le scientifique,tout deux arrivent dans la morgue,chose étrange,le cadavre s'est déplacé,en se retournant sur le côté.
le scientifique affirme ne pas avoir touché au cadavre,le cris provient du scientifique ayant pris peur sur le coup,il a eut le réflexe de crier.
le médecin-légiste trouve ça étrange,il vient approcher du cadavre,celui-ci ne tardera à ouvrir les yeux,le scientifique fut choqué,le médecin-légiste affirma
- comme es-ce possible ?
- de quoi,qu'il soit mort et vivant ?
- disons vivant.
- je suspecte la morsure.
- ce qui est troublant,ce mort-vivant m'évoque quelque chose.
le scientifique vient approché,au même moment,le cadavre vient à s'assoir et observé les alentours.
sa peau avait la teinte beige comme celui d'un vivant,à ceci prêt,qu'il était plus pâle,ses yeux était rouges,le médecin-légiste vient à examiné le corps,en repérant d'étranges plaies en forme de plaques au membres antérieurs et au postérieurs.
- c'est inhabituel,comme cadavre,c'est bien,la première fois,que j'ai affaire à un mort-vivant
- vous dites mort-vivant,il me semble.
- si tu préfère,j'ignore l'origine de la réanimation de ce cadavre.
- si on peut considéré que c'est un cadavre réanimé,je connais un nom qui irait bien,à ce genre de créature.
- vous parlez des zombies ?-

c'est juste,je ne veux pas vous influencé,mais je crains,qu'on est bien un zombie ici.sans rien dire,le scientifique surprends l'arrivé de deux policiers,le médecin-légiste vient les aborder,l'un d'eux apercevra le cadavre réanimé.
- on m'explique ce qui se passe ici ? fit le policier.
- justement,le problème,il est là. répond le scientifique.
- que faites-vous ici ?
- je suis celui qui a vu,un cadavre anormal,si vous aviez l'attention de le tuer,je m'y opposerais.
- je n'ai aucune raison de tuer un mort,et encore un cadavre ramené à la vie.
- un cadavre,vivant où pas,reste une preuve d'un meurtre.
- es-ce qu'il peut parler ?
- si c'est un zombie,il ne parlera pas ajouta le scientifique.
le médecin-légiste surprend le policier,reproché au scientifique d'employé le mot "zombie".
car l'article crée par le scientifique n'avait jamais pris de sérieux,au yeux de la communauté scientifique.
le policier approchera du mort-vivant,en lui demandant
- es-ce tu peux parler ?
- parler,comme un vivant..je ne l'ai pas oublié.
- tu me semble avoir peur de moi.
- peur de vous,non.seulement de vos armes.
- es-ce tu souviens de la personne qui vous tué ?
- je me souviens,que c'était un homme.