La disparition du Commandant Nastel, inquiéterons le petit groupe d'enquêteurs, un des enquêteur se rendra sur le dernier lieu, où il trouvera un résident

- bonsoir ,que venez faire vous ici ?

- je suis l'enquêteur Areken, je voudrais effectué une fouille

- aviez-vous le papier qui est vous autorisez à effectuer des fouilles ?

Areken montre le papier en règle,le résident le laissera entré, l'enquêteur inspectera les derniers fois où le chat du résident fut ,avant de disparaître sans aucune explication, son collègue, trouve un poil dissimulé,le temps de le prélevé avec une pince,puis mettre sous scellé.

l'un d'eux analyse la poignée de porte

- vous aviez bien un chat de compagnie ?
- non,un chien, c'est un petit chihuahua croisé carrin terrier, il dort avec son ami Vily, mon fils.

-pas de chat ?

- il appartenait à mon père,pour ce qui est du chat qui a disparu,il veut savoir pourquoi, le boucher s'en prends au animaux stérilisés,pourquoi,ces bêtes là disparaissent.

il s'avère,qu'il s'agit de sa femme du propriétaire du chat, elle montre son petit chien,au deux enquêteurs,puis pose des questions

- aviez-vous quelqu'un dernièrement ?

- j'ai vu quelqu'un,hier soir,dans mon garage,j'ai allumé la lumière,il s'est pris un petit coup de jus, j'ai éteins aussitôt, j'ai posé une question

"Qui es-tu ?"   il a commencé par comme parler bizarrement ,avant de rire le nom de Arais

 -Arais ?  mais il est partout,ce type

- pas impossible, Arais parvient à toujours à convaincre d'entré chez vous ,moi,ça m'a irrité

- vous ne l'aimez pas beaucoup on dirait ?

- c'est le fou d'Avülk, le plus lâche de tous les résidents

- le plus lâche ?

- on raconte,qu'il fuis les problèmes que de les confronter

- mais, ce n'est pas criminel,d'être lâche.

Areken admets

- Arais Assreis à déjà étais vu prêt du refuge où des humains furent disparus,un seul corps ,égorgé et décapité

- fou,mais pas au point de tuer des gens admit la femme anxieuse, avec tout ça, mon père insulte la SPA ,cause,ils ne veulent pas endommager la perte de son chat castré. admit-elle,avant de laissé les enquêteurs poursuivre la recherche,

en revenant vers le jardin,une puanteur attire l'attention des enquêteurs

- ça sens la fourrure mouillé admit Areken

son collègue,nommé Aviren

 -allons-y voir de plus prêt

les deux hommes arrivent sur l'endroit,étrange,un tonneau inconnu,on vit des vêtements en fourrure séchés sur une corde,puis le type semble avoir sombré dans un laisser-aller de l'alcool

la femme iritée récupéra la bouteille part terre,puis la rangera, l'homme était mort de rire

 - Athold ! la ferme ! proféra Arais, tu va me faire repéré

- Au vin !  le meilleur ! des mondes

-  Hé !  qui est-tu ?

- Arais !  qui est ce bourré ?

- un de mes amis,il est soûl ,on dirait bien

- que fait-tu torse-nue ? s'étonne Areken

 - pour la fraicheur de la nuit, la fourrure tiens si chaud..

Aviren admets

- il me semble sincère,mais il semble un peu fatigué, excepté ça,rien n'y change

- je ne suis pas d'accord,un assassin revient toujours sur le lieu du crime

Athold persiste à chanter subite ,de plus en plus osé

 - tu va te faire ! trucidé !  trucidé !

-TA GUEULE ! hurle Arais

ce cris pris de colère, fait taire l'autre homme, " Hic...pardon !  je me suis emport.hic ée !

-  Athold ,venez donc cuvez votre boisson en cellule !

- laissez-moi faire ,je vais vous aidais ,Athold à bu un verre de trop, ça arrive quelque fois

- c'est sûr

- le type qui pris le coup de jus,c'est le blond

Areken viens vers moi

-  qu'es-que c'est que ça ?

- j'ai dû chassé un chat,il s'est incrusté chez moi

- ce ne sont pas la griffure d'un chat, mais celle d'un homme

-  j'admets, j'aime joué quelque fois à imiter les animaux,en un jeu de faux de combats,ça laisse des ecchymoses.

-  crédible comme précision, admet Aviren

- quel ce genre de laine ?

  - d'origine canine bien sûr.

Athold se méfie en comprenant

-  "hic"  pourquoi vous êtes-là ?  hic,  simple observation

- hé bien,on enquête sur des chats retrouvés morts,tous étaient stérilisés

je viens à dégainé un objet

- pas besoin de problème d'opération ,avec ça !

 - de quoi parle-tu, et c'est quoi ce truc ?

 -le Stérilisateur version 1500 !

 - hein ?  un truc pour ..stériliser sans opération ?

-  Oui, à court où moyen terme bien sûr.

je range l'objet dans ma sacoche,  ce fut Areken qui remarque en m'observant aller récupéré les vêtements mouillés,je viens à les pendre, Aviren surprends ,quelque chose d'anormal, en approche des vêtements en fourrure,,puis prélever un échantillon de poil, l'explication était trop simple,et assez vague dans le fond.

au même moment, je sortis une pierre,que viens à râclé,à l'aide d'un objet spécial, Areken observe attentivement le garage,  Aviren accompagne Athold pour lui faire cuvé sa boisson, l’interrogé une fois les effets passés.

- pourquoi as-tu fais ça ?

 - ce type est louche, avoue Aviren ,si tu ne le vérifie pas,je le ferrais.

- il est bizarre,mais s'en plus.

un sourire vient à se révélé sur mon visage, j'en viens à attendre qu'ils partent hors de la pièce, dégaine ma dague

 -que la lame arrête de s'émousser !

- arrêtez de trop la laver !

- un chasseur prends soin de ce dont il a besoin de se nourrir.

- vous êtes vraiment un chasseur ?

-  à mon avis,vous êtes marié,grande dame.

- comment le savez-vous ?

 -votre alliance à votre majeur à votre main me l'indique.

- ho c'est peu ,il est au boulot.

-où travaille votre époux ?

- hé bien, il est éleveur de chiens, il élève des bergers allemands à dos incurvé, un fanatique du pure-race

- chien consanguins , où est cette élevage ?

 - vous désirez lui rendre visite,pourquoi pas.

la femme donne une carte de visite, je nomme les informations sur un carnet,puis j'admets

- au fait de sang pure ,j'en suis aussi.

- comment sais-tu ,que ma famille pratiquait.. l'inceste ?

 - parce les miens l'ont fait, je ne veux que rien de mal ne vous arrive.
- je comprends,c'est très gentil de ta part

la femme vient à repartir, je profite de récupéré à l'arrière du tonneau,un photo

 -"un chien" cette fois-ci murmurais-je.

j'en viens à trouvé en moi,le temps d'aiguiser la lame de ma dague, le bruit aigu et strident

tire sur les nerf de la femme et de son fils Vily

- tu peux demandé à Arais, ton copain d'aiguiser son couteau plus loin

- non,je ne peux pas,il sait tout ,sur "le tabou"

- je vois

- soyons prudent