le végétalien pris dans la peur,tends de calmer sa crainte,jusqu'à réalisé être suivis,l'homme carnassier l'avait pister comme le ferait un chien
- allez-vous en !
- qu'es-qui vous faire si peur ?
- vous me faites flipper !
- alors,le mangeur de feuilles me craint,ricana-t-il,en passant sa langue sur ses lèvres
- ce ne sont pas des feuilles,les légumes !
- un végétalien pourrait en manger,de la salade,mais je crois,que je meurs d'envie d'expérimenter quelque chose nouveau.
- Dégage de là ! loin d'ici !
- j'avoue,ça m'excite,je sens que je vais m'amuser.
- fichez-moi la paix !

le végétalien prends le mauvais réflexe,s'éloigner,et s'enfuis en courant.
son mauvais comportement,déclenche le réflexe de l'attaque,dans le cerveau,de l'homme au dents de carnivore.
très rapidement,une course-poursuite à lieu durant la ville,le végétalien réalisera être poursuivis par l'homme mangeur de chair,qui se mets à se plaire,dans la première traque de sa vie.
la poursuite continuera jusqu'au centre ville,seul un homme comprendra qu'il s'agit bien d'une chasse volontaire,l'homme carnivore utilisait son flair,et se mettait à saliver d'un désir de meilleur chair.
- ils ne jouent pas du tout ! admit -t-il
- on dirait un jeu,ce n'est pas méchant.
- cet homme à besoin d'aide !
- non ! n'y va pas !
- je ne laisserais aucun dévoreur,dévoré un de mes amis !

- tu viens dire dévoreur ?
- c'est le nom que donne certains des résidents.
- tu n'as pas peur,de devenir un bout de viande ,pour le dévoreur.
- il le faut !
l'homme suivra l'homme carnivore,ayant réussi à rattraper,sans un bruit,le végétalien en pleine course,comme à se fatiguer,emballant le carnassier,se précipitant et effectuant un saut sur le végétalien,celui-ci poussera un cris d'horreur,car l'homme vient le plaquer à terre.
- alors,on craint de se faire manger affirma l'homme carnassier,merci, tu m'as appris à chasser.
- lâchez cet homme !
- on se calme,je n'ai pas assez faim,pour le manger.
- je pensais,que tu voulais le tuer.
- j'ai même mieux,à ce qui refuse,la viande,je vais leur apprendre à aimer.
- pardon ?
l'homme vient à se mordre,forcer le végétalien à boire son propre sang,puis vient à le mordre,l'autre homme n'en revient pas
- Qu'aviez-vous fait ?
- je l'ai changé répondit-il,ainsi,je ne serais plus jamais seul,c'est lassant et ennuyant,la solitude.
- vous l'aviez changer,mais en quoi ?
- tu verra,au 21 à 25 jours,le changement sera complété.
- c'était pas obligatoire,affirma le végétarien.
- j'ai préféré,te transformer,plutôt,que te tuer,ta mort n'aurait servis à rien.

l'homme ne tarde pas à partir,après avoir fait un choix,qu'il a avait pris lui-même,de sa propre décision,curieusement,les invités retrouveront,le végétalien,revenir avec plus de peur,que de mal.
ce fut son compagnon,qui vit la morsure cicatrisé et s'effacé en quelques jours.
à cela s'ajoute,que le végétalien vit tous raconté à ce dernier.
- je t'avais prévenir,il aurait pu te tuer.
- il ne l'as même pas fait.
- sans faim,non,je vois mal,un dévoreur causé une mort par plaisir,problème suivant,tu m'as dis,qu'il t'a fait boire du sang ?
- son propre sang,il m'a forcé,j'étais trop fatigué,pour résister à sa force.
- sa force ?
- il est anormalement fort,il a aucun signe de blessure.