obligé de le retrouvé,on ne pouvait pas le lasser en extérieur,le mort-vivant risque d'être égaré,et vraiment perturbé.

aidé de mes amis,nous décidons de se rendre à la zone de pierres dressé,effectivement,il était bien là,ses hurlements manifestant une souffrance si grande,les yeux en larmes,les mains dans les cendres du feu de camps.

un guérisseur fut tiré de son sommeil,par les cris remplis de souffrance,et l'effondrement de 'l'espoir,se faisant ressentir.

se sachant condamné à une exile éternel,le mort-vivant fut beaucoup trop triste,il observait les cendres,allant jusqu'à fouiller,au point de se noircir les mains.

- Qu'es-que je vais devenir maintenant ?demande-t-il,,répond toi ,qui est là--haut !

- là-haut?

- l’au-delà dit aussi le paradis où le pays des dieux.

- mon coeur ne cessera jamais de souffrir,où est elle ? 

le mort-vivant approcha,et se mit à chercher partout où le pouvait,à chaque recherches n'aboutissaient pas,le cadavre réanimé finis par accepter,mais lui fallait du temps,ce dernier manifesta une colère naissante,il pris une pierre et l'envoya valser si fort,quel traversa l'eau comme le ferait une planche de surf,,le mort-vivant affirma

- je ne le sens vraiment pas..

la pierre continua son aller,terminant sa course sur la tête d'un chasseur,qui reçut une bonne bosse des familles.

- Qui s'amusait au lancer de pierre ici ?

le mort-vivant recula,il venait de repéré l'arme à feu,en évidence,ainsi que les cartouches,instinctivement,il les compte sans raison.

- c'est le zombie,il ne voulait pas vous blessé ?
- je le reconnais ! c'est toi ! qui a détruit mon potager

- non... ce n'était pas moi ! je ne mange pas les plantes !

- ma fille s'est fait mordre ! elle est tombé malade !

le mort-vivant continua à reculer,il se mit à pleurer à nouveau,le chasseur n'avait jamais vu,autant d'humanité,chez des zombies; il ne tarda pas baisser son arme,et la rangea,ce fut là,que le mort-vivant émit un cris de rage,pour l'attaquer,et le précipita par dessus la baie,tout deux s'affrontent sans armes,sur la berge,l'intervention de cavaliers montés nous aidèrent à remettre l'ordre,le mort-vivant se mit à crié

- il  y a personne ? pour me dire où est elle ?    

- qu'es-qu'il a ?

- il est malheureux, il souffre d'avoir vu son âme,se faire arracher,,je l'ai remarqué,son expression,elle était déjà en pleine expression,de la douleur,son attitude aussi exprimer,qu'il a tenté de supplier,mais il n'a pas réussi,il a vu son âme être jeté dans le feu,vu comme il a réagit,en voyant une explosion se produire,il s'est mit à un hurler si fort,que si la zombification avait eut lieu en ville,une bonne partie des résidents seraient sans domiciles.

en l'observant,le mort-vivant,finis par s'allonger à terre,être un condamné au couloir de la errance,semblait ne pas lui convenir,,j'apprends de la part de mon dieu,,que cet homme était une victime de plus,celui-ci,n'avait commis aucune d'erreurs graves,les indigènes associent en revanche une tendance moderne,celle d'acheter une maison de quelqu'un d'autre,c'est criminel ici,alors qu'en faites,les coupables de l'état de zombie,de l'homme,furent les mêmes.

- mon âme. !(hurlement)    jamais..(sanglot). je ne la retrouverais ! (sanglot)

les plaintes furent touchante,le mort-vivant continué à se plaindre,il ne tardait pas à se coucher à l'ombre,toujours en larmes,il observait au loin les vagues s'abattrent sur la plage,je décida à l'approcher,le mort-vivant commencé a changer,plus l'espoir baissé,plus les hurlements de souffrances augmentait,parfois,quelques sanglots,associé à des gémissements et des plaintes,ressortaient.

le cadavre-réanimé ne tarda pas à découvrir,les conséquences du fait d'être un corps sans vie,exposé à la chaleur du soleil,il eut la surprise de se voir enfer,il était pris d'anxiété,je me décida à porter le mort-vivant,et nous rejoignons dans une zone loin de la chaleur du soleil,l'un d'entre-nous,le zombificateur nous montra comme utiliser sa machine à lui,,on ne tardera pas,de laisser un de mes amis,parvenir à piquer,le ventre du zombie,afin d'en évacué le gaz de ces maudites bactéries.

Quelques temps après le dégazement du mort-vivant,celui-ci finit par s'observé dans l'eau,se voyant à travers l'eau,il vit avec étonnement,qu'il avait vraiment changé,et fit pour la première fois,une prise de conscience.

- si je suis un cadavre...c'est que je suis mort..

- effectivement..

-  je commence à souffrir à constaté,que les autres morts, ils sont en paix

- ils ne sont pas tous en paix,tu n'es pas le seul.

- tu as manger ?

- Oui,j'ai a mangé,tu viens ?

- d'accord,je les envie,ceux qui ont ce sommeil éternel

les Dieux n'avaient que faire,des zombies,parce qu'ils sont trop occupé.

le cadavre réanimé profitera d'un moment entre amis,pour se restaurer,et se reposer,mais réveillé par un cauchemar.

- j'en ai marre,elle se montre à moi,je me repose bon sang !

- c'est le souvenir,qu'il t'en reste.

- Comment peut-tu savoir ça ? demanda-t-il,avec inquiétude.

- Parce que nous deux,bien que je ne suis pas morte,nous avons vécu la pareil,bien que tu sois un homme.

- c'est-à-dire ..?
- tu es un zombie,quand à moi,je suis infecté par un virus.

le mort-vivant en s'installant sur le canapé et se repose.

à suivre ...