• La Fiole Perdue (épisode 1 : un livre pas si inconnu) partie 2/3

    Ce fut le descendant du scientifique fou,qui voulait savoir,si son père,s'était suicidé où aurait-il était tué par une personne payé pour lui arraché.
    le téléphone sonna à trois reprises,l'homme revient en direction du téléphone,et répondis
    - vous n'avez pas marre de me harcelé,à cause de la réputation de mon défunt ascendant.
    - ce n'est pas en raison de votre père,ni de sa mauvaise réputation,j'ai besoin de votre aide,car la mort du vôtre,à valu la mise à mort,du mien,je tends à la place du marché public.
    - à quel heure ?
    - à 10h précis,ne soyez pas en retard.
    - dix heures,et pourquoi pas 15 heure.
    - je n'ai pas le temps de précisé,je suis sur écoute.les deux hommes se retrouvent à l'heure dite,sur l'endroit et le lieu de la rencontre,d'après deux personnes,la discussion était houleuse,ouvertement injurieuse,le descendant du scientifique fou,se montrait très froid,et n'affichait aucune émotions visible.
    ce qui avait pour don,d'irriter son compagnon,qui fit des pieds et des mains,quand il était important,il fallait empêché que ce livre,ne tombe dans des mauvaises mains.
    - pourquoi ? ce fichu livre me concerné ?
    - ce n'est pas un simple livre,c'est bien au delà ça,le premier des livres à ayant la capacité de ramené à la vie,des cadavres.
    - des cadavres ?
    - Oui,j'ai peur pour toi,et surtout,de ta sécurité,nous sommes si ça,se trouve,nous sommes au milieu,d'une bande de charognes réanimés.
    - laisse-moi rire,je n'y crois pas.
    - si tu ne me crois pas,je peux te le prouver,je t'ai observé,il y a trois jours,tu m'as prétexté d'avoir la peau très sensible,et tu ne supporter peu de temps le soleil,le troisième jour,je t'ai vu,te précipiter dans une grotte,que je n'aurais pu trouvé,sans te suivre,après tu te sois exposé au soleil,je l'ai vu,ton corps,tu peux me mentir,pourtant,j'ai bien vue,que tu n'étais pas digne,d'être un humain normal.
    l'homme semblait le méprisé,mais en faites,relâcha des larmes,en affirmant
    - je ne peux donc rien te caché,tu découvre toujours,je t'ai mentis,pour assuré ma survie,si des humains normaux l'apprenait,ils nous tueront,toi,pour avoir trahis l'humain,et moi,pour être ce que le vulgaire appelé un zombie.
    - tu as peur des humains ?
    - non,je n'en ai pas peur,mais j'ai peur de me faire pourchassé,traqué comme une bête à abattre.les passants étaient pour certains à faire des courses,les deux hommes décidèrent de rejoindre une boutique d'antiquité.
    - si je te surprends à me mordre,je n'hésiterais pas à te jeté au humains
    - tu vois,tu te remets en question,où tu as peur,que je te mange.
    - justement,un mort-vivant n'a plus de conscience
    - n'en rajoute pas,de plus,je suis le seul en être un.
    - je ne pense pas cela,honnêtement.

    en fouillant la bibliothèque,trois à cinq livres tomba sur l'homme,en cascade,qui tomba maladroitement par terre
    - espèce d'idiot ! grogna -t-il,tu m'as envoyé une cascade de livre sur la tête !
    - estime-toi heureux,que ce ne soit pas des armes à feu !
    l'homme se mit à rire subitement,il se redressa finalement,et vit avec inquiétude,une personne de la garde de la ville.
    - mec,il y a un gars armé d'un fusil
    - ce n'est pas un fusil de chasse,mais d'assaut,cet homme est soldat,oui,effectivement ils ont armés,les gardes également,que comment veut-tu assuré la sécurité sans ce recours.
    l'homme fut perturbé,pas par les soldats,mais il savait qu'il lui serait difficile de caché,des signes d'accélération de putréfaction,bien qu'il avait tenté trouvé des solutions en vain,d'un coup un livre inconnu,s'introduisait dans une recherche.
    les deux hommes découvrent enfin,un morceau de papier les mettant sur la piste d'un des habitants de la cité,il habitait l'ancien appartement du savant fou,avant qu'il amenage dans une maison dont une partie sera changé en laboratoire.
    en se rendant sur l'avenue de l'Aurier,devant la maison n°10,le locataire les fit entré.
    une discussion s'en suivis,l'homme affirma qu'un particulier à découvert un livre dont il a sur-estimé la valeur.
    les descriptions du livre vendu,était bien celui que les deux hommes devait retrouvé,le problème,comme prouver l'appartenance,sans aucune preuve.
    - ce qui m’inquiète,que ferait des mauvaises personnes,si ce livre viendrait dans leurs mains,plus pour notre sécurité,et ceux des anciens.
    - en clair,vous mène une enquête,il est normal de savoir la vérité,le problème,est que nous pouvons pas tous savoir,même si on sait beaucoup.
    "pas autant que moi",pensa l'homme qui décida d'aller prendre l'air,quelques minutes après,son collègue le vit revenir,plus posé,et moins énervé,il vit une trace de sang,sur ses vêtements.
    - qu'es-tu allé faire ?
    - j'avais posé un piège dans la zone,pour attraper un où deux lapins.
    - encore un coup,de la faim.

    l'homme se retient de répondre,effectivement il tenait un lapin mort dans sa main droite,qu'il décida d'achever son repas plus loin
    - Monsieur,le saviez-vous,vous êtes une propriété privée ici
    - son ancêtre à vécu ici.
    - à l'époque de celui-ci,les loi des droits privé,n'existait pas,car cette ville s'est modernisé,que très récemment.
    - il est sérieux ?
    - laisse-tomber,il va cherché à vous énervé,et y parvenir,il va réussir.
    - je me demande,quelque goût doit avoir votre chair,qui sent si bon,et si belle.
    - Whein ! veut-tu cessez,tes allusions aberrante.
    - elle a est un très beau cou
    - qu'es-que j'ai dis ?

    l'homme ricana,en affirmant
    - je ne suis pas doué pour faire rire,mais je n'ai que l'humour noir en ma connaissance.
    - l'humour noir,des plaisanteries stupides.son compagnon réagit,et vit le colocataire affirmait
    - il n'est pas un humain normal,il mange de la viande crue.
    - es-ce vraiment dramatique.
    - non,il a peut-être tué,deux animaux que j'ai sauvé,mais finalement,ça m'arrange bien,ils étaient difformes,au moins,mes petites bêtes s'en porteront mieux.
    le mort-vivant fut étonné
    - vous en avez plusieurs ?
    - Oui,je fais aussi un élevage,de lapins domestiques,et de lapins sauvages,pour repeuplés les forêts,que les prédateurs exterminent.
    - c'est faux,les prédateurs,les vrai,n'exterminent pas la proie dont ils dépendent,sans risque de mourir après elle,d’inanition.
    l'argument est trop précis,l'éleveur ne s'entendait pas à être remis à sa place,et décida d'étouffer la perte de deux lapins difformes,en échange,de deux pistes,affirmant,avoir repéré un zombie chez lui !,en train de se délecté des chairs d'un pauvre petit lapin née malformé.

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