Qu'importe ce qui a pu arriver à l'homme au dents suffisamment effrayant,pour affolé un végétalien,par chance,il n'y a aucune autre attaque donné.
Pourquoi cet homme avait donné son propre sang à un végétalien ? celui-ci avait même fait part de la force de ce dernier.
- Pourquoi il m'a fait ça ?
- a-t-il dit quelque chose en particulier ?
- à ceux qui refuse la viande,je leur apprendrais à aimer.
- c'est un peu vampirique,cette phrase,qu'il a dit.
- il a même dit à mon ami,qu'il m'avait changer,j'ignore ce que cela signifie ?
-autant pour moi,admit l'ami.
- Que c'était-il passé ?
- disons,qu'il a eu bien trop peur,,le dévoreur à compris la peur,j'ignore comment.
- Un dévoreur,vous dites ?
- Oui,les résidents l'appellent ainsi
- justement,c'était un homme,le dévoreur,celui au grandes dents.
- je vois,je le reconnais,j'en ai encore des frissons dans le dos,quand je pense à ses dents.
- j'ai peur,qu'il s'en prend à vous.
- j'ai peur,qu'ils tuent des humains,ils faut s'en méfier,on ignore tout de ce qui lui est arrivé.

Les végétariens apprends avec étonnement,l'annonce d'une attaque par morsure,au autres,on point même de les prévenir,l'homme au dents de carnivore était partie,dans un silence inattendu,cela n'étonne vraiment plus personnes,le plus jeune à fait preuve d'imprudence.

Au pire,l'homme au dents de tueurs,aurait pu tuer le plus jeune,mais il ne l'a pas fait.
ce fut à ce moment,que deux végétariens débarquent,dans le quartier où habitait l'homme carnassier,celui-ci était seul,observé le ciel.
- vous !
- tiens,les amis du mangeur de feuilles ?
- Mangeur de feuilles ? on ne mange pas des feuilles,mais des légumes.
- les légumes,ça vient des plantes,donc,la salade,c'est tout comme.
- la salade,c'est possible.
- je me détends,j'observe ce qui volent.
- je voudrais te parler.
- à propos du fait,que j'ai attaqué un des mangeurs de feuilles ? je ne n'avais pas l'intention de le tuer,je l'ai épargné.
-comment le sait-tu ?
- parce que j'en étais conscience,à moins,que vous auriez préféré que je le tue ?
- non,vraiment pas.
- j'aurais à aucune raison de le tuer,ni de vous tuer,sauf,si vous continuez à m'agacé,je n'hésiterais plus.
- serais-ce une menace ?
- ce qui vous manque,ce sont l'absence des dents de carnivore,l'home ne peut pas vivre "sans viandes".
- pour en manger,il faut aimer,mais aussi que cela soit une nécessité.

L'homme vient à se redressé,en affirmant
- vous désirez savoir,j'en ai l'intuition,j'espère,que mon récit ne vous terrorisera pas.
- où veut-tu en venir,que c'est assez effrayant.
- Oui,peut-être.
- vas-y, tu peux raconté.
- ce dont je me souviens,uniquement,il y a comment un manque de souvenir,dans ma mémoire.
- comment si tu avais perdu conscience ?
- peut-être,je ne sais pas à vrai dire.