Dans la terre d'Ivalkay, aussi appelé l'île au Chiens,en raison d'un certain nombre de populations canines,ival veut dit "île",et "kay " signifie "chien",dans la langue indigène.
Fut un temps,où nous vivons,n'étaient qu'une magnifique ville,une gigantesque métropole,nous vivons avec les humains,seuls les indigènes nous respectaient,et n'interférait pas dans "la sélection de la nature".
les humains vivants en ville,n'ayant pu amené que deux chiens par habitants,ils viennent alors adopté des chiots en dehors du centre-ville,au mépris des éleveurs qui s’installèrent en masse.
- il y a tant d'élevages de chiens,qui se ressemblaient comme des jumeaux,mais un jour,deux scientifiques découvrent,les cadavres de chiens gisant de part en part,l'un d'eux réalisèrent,que deux élevages ont démanché une guerre,on l'appelait la guerre cynophile.
- les élevages se contredisent,les un prenaient le parti,d'un élevage sans aucune consanguinité et refusé tout standard,même avec de l'argent en prime,de l'autre côté,les éleveurs de la second partit du contraire,omettant pour un élevage incestueux,et le plus standard possible.
- il croyait quoi ? ces sans cervelles ? demande le chiot
- je n'ai pas fini,Vaïla.
- je t'ai écoute.
pendant une longue période de temps,cette guerre humaine se poursuivaient,ceux qui étaient contre, attaqué parfois,l'autre camps,afin de voler leurs terres,et leur habitations.
- les humains s’autodétruisaient ?
-Oui,ils se détruisaient déjà.

la violence,et le chaos revient,la police peinait à maintenir l'ordre,les jeunes s'y ajoutaient au jeunes adultes,et au adultes,attaquant les forces de l'ordre,sans raison apparente,les humains se calmèrent,quand un tremblement secoua la terre,un immense volcan émergea au centre de la ville,il était née suite à la fragmentation entre deux plaques,séparent en deux côtés,la ville fut alors divisé,certains humains périraient en tombant dans la lave en fusion,ce fut un véritable carnage,quand une série de météorites s'y ajoutèrent,ces roches que j'observais d'un oeil méfiant,et vigilent,j'ai sentis,que ce jour là,les humains sont condamné à s'éteindre.
- ils sont tous morts ? s'enquit le chiot,rabattant ses oreilles vers l'arrière,avec un air de tristesse.
- quand je suis revenu à moi,expliqua Wolff,la ville n'était qu'un véritable champs de ruine,des cadavres d'êtres humains nous attendaient,mais en l'approchant de l'un d'eux,je vis un bébé ,il a survécu à l'accident !
- un bébé ?
- c'est une fille,admit-il,j'ai touché par la souffrance de ce curieux chiot,je n'étais pas encore mature,et dans cette cité,on ne stérilise que les "chiens incestueux",maintenant,que la ville n'était qu'une ruine,où sont les humains,je me suis demandé.
Wolff,se coucha,et observa de puis la colline,à côté du chiot,à l'écoute,et attentive.
- en flairant une odeur familière,j'approchais d'un fossé,la roche en fusion avait combler le vide,et était devenu recouverte d'un voile gris,elle se refroidissait.
en m'approchant,je vis un homme ! accroché grâce à ses mains,à des piolets
- je me suis cassé la jambe ! expliqua-t-il,va me trouvé une corde !
je me lança alors à la recherche d'une corde,j'en trouva une puis l'amené,je fis un noeux,l'homme entoura son tour de taille,je saisis l'autre bout de la corde,en tirant,avec le plus de force,et de puissance,j'étais si jeune,que je compensé mon absence d'expérience,par la force,et la jeunesse.
Wolff expliqua après avoir extirpé le survivant hors du fossé,cette espèce de ravin,l'homme reprends ses esprits,en réalisant,que toute la ville a était détruite,pour lui une seule chose devenait logique.
- c'est Dieu,il s'est vengé de l'humanité à vouloir tout contrôlé,résulta,la ville n'est qu'un véritable désert de ruine.
- vous auriez pu mourir,l'homme en se redressant,je le vis,avoir des difficultés à marché,je décida,de l'aider à le soutenir jusqu'à être en sécurité.

après avoir mi l'homme en sécurité,j'allais en courant,cherché l'enfant,quand je bouscula sur le coup,sur un congénère de mon espèce !
j'allais l'attaqué,quand je réalisa,sur le moment
- c'est une femelle ! une chienne !
- Par dieu,en fait un partenaire ! il vivant lui en revanche !
- c'est maman ? fit le chiot
- Oui,c'est notre premier rencontre.
au même moment,toute la portée,de 12 chiots accourent vers Wolff
- au moment de sauvé un bébé !
Wolff vit la chienne léché le bébé,et le laissait boire à une de ses mamelles.
" ils nous a fallut du temps,pour se connaître,une attirance était déjà là,un soir,quand je rapportais à manger,la chienne avait adopté le bébé humain ! elle le nourrissait de son lait,elle a l'instinct maternel,que toutes mères devraient avoir."
- l'enfant a était adopté ?
- Oui,elle s'est confié,avoir perdu tout ses chiots,suite à un excès de consanguinité,elle avait encore du lait,et souffrait de douleur,je l'ai laissé adopté cet enfant,mais à ce moment là,nous pensions qu'à survivre ensemble,nous sommes devenu un couple adulte,étant donné mon trop jeune âge,la chienne m'apprends ce que je n'ai pu apprendre.
- et l'homme blessé ?
- nous rendant sur le lieu de sûreté,là où est en sécurité,l'homme est toujours là,la chienne accepta par défaut,de devoir nourrir un "humain" par dessus le marché,mais un adulte.
- il mange quoi les humains ? demanda un chiot ?
- ils sont quoi ?
- une espèce unique,homos sapiens,qui s'est crû au dessus de la Nature,et au dessus des Dieux,comme le dirait un chien-zombie,on appelle cela une chute.
- non,le chien-zombie,parlerait d'une chute en enfer
- je n'osais pas le dire.
les chiots émirent des éclats de rires,l'homme à la jambe cassé,sortis de sa poche un foulard,et le plaça à sa jambe,là où le sang coulait.
ce fut le berger-lévrier,appelé Wolff,qui revient l'aider à ressersé le foulard,il fallait stopper l'hémorragie,sans quoi,il n'a aucune chance de survie.
voyant que malgré l'idée,le foulard était déjà en mauvais état,Wolff décida sur lui
- je vais prendre un risque,décida-t-il.
la chienne était un berger allemand,une survivante de la destruction,mais à priori,tout ceux de sa race sont désormais tous "morts" où " si loin",qu'il sera impossible à les retrouvé,sans tomber sur des cadavres à coup sûr.
Wolff se mit à flairer la blessure
- je n'ai jamais appris à faire une opération se plaint-il
- pas nécessaire,les corniauds ont un avantage,moi,je ne peux pas,à cause de mon inceste du sang,toi,ton sang est le contraire du mien,tu peux le faire.
encouragé par la chienne,je décida alors à léché la plaie,l'homme fit une grimace,à cause de la douleur,j'admets que ça devais faire vachement mal,de se brisé un os !
après avoir léché,pendant que la chienne s'occupait du bébé adopté,et assuré une vigilance du rescapé blessé,je pris la charge d'aller rapporter de quoi nourrir
en me baladant en trottant,je découvre un cadavre récent,de berger allemand,je m'approcha tout doucement,quand la charogne ouvris ses yeux !
HORREUR ! UN ZOMBIE !
je décida d'affronter ma peur,le chien-zombie se redressa,mais souffrait tant,qu'il était en incapacité de se défendre,sans ménagement,je le poussais par dessus le fossé,et le vis se détruire dans la lave.
j'ignorais que ces saloperies étaient plus nombreuses,mais j'étais beaucoup trop jeune.
- le manque d'expérience,n'est pas votre faute.
- c'est de la faute de personne,mais celle de l'humanité,en voulant détruire la nature,les humains se sont auto-détruit,les uns et les autres,à vouloir forcé le bien et la paix,on crée le mal,et le chaos de l'enfer, à vouloir aller trop haut,c'est qu'un jour,on retombera tous au point de départ.